Tecnicas de Ferenzi

Barbery.net > Psyche > Mémoires > GUERIR PAR LA PAROLE ? LA TECHNIQUE CHEZ FERENCZI (2000) Ce texte est celui d'un mémoire de maîtrise de psychopathologie (2000). Il est insatisfaisant pour différentes raisons : - Je m'y impose un style universitaire qui ne me convient pas et dilue ainsi des questions que je compte réaborder frontalement, de façon formalisée et synthétique, plus tard. - La rencontre avec la biographie de Ferenczi, notamment par le biais de sa correspondance, a été importante au titre de processus de démythologisation des débuts de la psychanalyse, mais, par ricochet, à l'origine d' un désinvestissement du personnage. Je me décide pourtant à le publier en-ligne afin qu'il puisse servir aux personnes à la recherche d'une information ponctuelle, accessible grâce à la recherche par mot-clés qu'offre un tel document numérique. INTRODUCTION_ I.      L’ANAMNESE D’UNE TECHNIQUE_ A.    Eléments biographiques (1873-1919) 1.     Enfance et formation 2.     Les débuts de la relation à Freud_ 3.     L’affaire Elma-Gizella 4.     Freud analyste de Ferenczi 5.     1919-1933_ B.    Réflexions cliniques : la technique éclairée par la biographie_ 1.     Le niveau subjectif a)     L’assoiffement de franchise b)     Le besoin d’aider 2.     Le niveau transférentiel a)     Ferenczi fils de Freud_ b)     Dynamique inconsciente : l’affaire Elma-Gizella c)     Les moments « d’analyse » avec Freud_ 3.     Le niveau historique a)     La question de l’analyse de l’analyste b)     Cadre de l’analyse au début du 20ème siècle 4.     Conclusion II.        La langue infantile, paradigme de la parole analytique ?_ A.    La pédagogie hypocrite ou l’éducation à la cécité introspective_ 1.     Sur la répression et l’hypocrisie 2.     Sur le Petit Prince B.    Les mots magiques : de l’enfance à l’analyse_ 1.     Les textes a)     Génétique du langage : la période des pensées et mots magiques. b)     Le mot obscène prototype du performatif ? 2.     Hypothèses C.    Analyse et suggestion : l’enfant cheval sauvage et crédule_ D.    Conclusion_ III.       De l’écoute clinique à l’activité_ A.    L’écoute clinique de Ferenczi avant son « analyse »_ 1.     Le corps parlant de l’analysant 2.     Le discours du langage 3.     Conclusion B.    Les forceps expérimentaux de l’analyste : l’acte plus fort que la parole ?_ 1.     Origines de la technique active 2.     Théorie et indications 3.     Contenu de la technique active 4.     Autocritiques et abandon de « l’agent provocateur » IV.       Hypocrisie professionnelle et trauma_ A.    Elasticité et tact B.    La critique de l’hypocrisie et l’analyse mutuelle comme pis-aller C.    Trauma, régression et néocatharsis D.    Conclusion_ CONCLUSION_ BIBLIOGRAPHIE_

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